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Il suffira… d’un Cygne !

C’est une première à Ixelles : le projet Cygne développe un habitat communautaire social pour seniors ! Cette résidence a été pensée pour faciliter la vie de nos aînés : 8 studios locatifs autonomes, avec des espaces partagés, un îlot végétalisé et un café solidaire intergénérationnel, à deux pas de Flagey !

« Au départ de cette démarche, il y a le constat de besoins de logements accessibles pour personnes âgées avec un espace de rencontres à mixité générationnelle et socioculturelle. Les bureaux administratifs et l’ancien local aux archives de BinHôme sont alors identifiés comme lieu de conversion. Nous avions pour volonté de permettre à nos aînés de rester indépendants et de rompre avec la solitude en rencontrant des personnes de toute génération et de tout milieu social. » explique  Nevruz Unal, Echevine socialiste de la Rénovation urbaine, des Contrats de Quartier et de la Politique de la Ville

 L’intérieur d’îlot réaménagé en jardin avec son café solidaire, accessible aux Ixelloises et Ixellois en journée, offre un lieu calme de socialisation.

« Beaucoup de personnes préfèrent être entourées pour se sentir en sécurité et sortir de l’isolement. On résout  ainsi plus facilement les petits tracas quotidiens, tout en veillant les uns sur les autres. Un regard nouveau sur la vieillesse est indispensable. Les notions d’inclusion et d’autonomie consistent à permettre à nos ainés, tout particulièrement celles et ceux en situation de précarité économique, de participer à la vie sociale et culturelle pour jouir d’une qualité de vie honorable. » ajoute l’Echevine

« Ce projet résulte en Rénovation urbaine-Contrats de Quartier de notre toute première édition de la politique de la ville Politique de la Ville axe2 2017-2020 pour un montant de 1.998.544 euros. Je suis particulièrement heureuse  d’avoir inauguré et porté une telle réalisation avec la tutelle régionale de Rénovation urbaine et la société immobilière de service public BinHôme,  qui s’est chargée de la mise en œuvre du chantier sur son patrimoine. » conclut Nevruz Unal

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